Corps de femmes, nues, vêtues, jeunes, moins jeunes, corps qui recèlent tant de mystères souvent inconnus de nous. Corps beaux, moins beaux, tous connaissent d’être délaissés, aimés, objets de rejet, de haine, d’amour.
Les corps se souviennent de ce qu’on voudrait parfois oublier ou bien nous retransmettent avec délice des sensations amoureuses, coquines, perverses, ou bien le contact d’une brise douce ou d’un regard d’homme dont pour un instant, il est l’objet de convoitise.
Les émotions, les rougeurs, les somatisations, tout cela est orchestré par ce corps, aujourd’hui si peu respecté.
Le corps sait des choses que notre raison ignore, que la science ne peut pas découvrir.
Le mystère de la mort, de la naissante, la clef de la jouissance, de l’extase, de la transe amoureuse, notre corps sait ce que nous ignorons.
Le mystère de nous même, c’est à nous de le découvrir. Corps de femmes tant racontés, tant filmés, photographiés dans le but de le démystifier.
Les hommes écrivent sur les femmes, ils nous vivent et nous imaginent au travers de leur subjectivité et croyance. Moi, je suis une femme, donc je peux témoigner en tant que telle.
Je ne joue pas à comprendre les femmes. Je suis femme et en même temps différente de beaucoup d’entre elles. Il y a l’éducation, la religion, La couleur de peau, les origines et tant d’autres choses qui nous différencient.
Mais nous avons un point commun malgré nos différences: le même sexe.
Je pense, comme Virginia Woolf écrivaine du 19e siècle, que certaines libertés d’une écrivaine sont restreintes.
Virginia Woolf, a écrit « Dire la vérité sur mes propres expériences en tant que corps-je ne crois pas avoir abouti et je doute qu’une femme l’ait fait jusqu’à présent.
Une femme a à combattre bien des préjugés. » Comme elle a raison encore… Moi même en temps qu’écrivaine, je me heurte au passé du monde, des femmes et souvent, j’ai envie de partir très loin de tout.
La mort ou le bout du monde. Un endroit où je pourrais me ressourcer et enlever les cadenas qui m’étouffent encore et toujours.
Virginia Woolf se posait les mêmes questions : « Qu’est ce q’une femme, je vous assure que je ne le sais pas » mêmes questions que je me pose surtout dans mon troisième livre:
« Qu’est qu’une femme? »
Simone De Beauvoir écrivait « On ne naît pas femme, on le devient. »Ce sujet brûlant est toujours d’actualité. Transgresser est ma spécialité, mais que de murs s’érigent devant moi.
J’ai dit un jour à un sexologue, connu et écrivain, que les confidences que des femmes lui font sur leur vie sexuelle ne révèlent pas sans doute le plus intime d’elles mêmes.
J’écris sur le sexe mais je me garderais de dévoiler mes découvertes profondes et intimes. Je constate que dénoncer certaines choses encore taboues dans notre société a un prix à payer.
Pour le moment, il y a une libération des mœurs qui donnent un semblant d’air affranchi, mais c’est comme tout aujourd’hui où les excès règnent. Tout se dégrade, les rapports humains, le sexe.
Pour parler du corps des femmes, de leur liberté sexuelle, je pense à une rencontre foudroyante entre un metteur en scène et une actrice mythique du cinéma français: Brigitte Bardot et Roger Vadim. Vadim a eu l’instinct talentueux de faire le film « Et Dieu créa la femme » avec Brigitte Bardot.
Magnifique BB qui devenait l’image vivante d’une femme insoumise, insolente, sensuelle, mutine et tellement sexy. Brigitte Bardot incarnait ce personnage de sauvageonne qui lui collait à la peau.
C’était elle, elle était le rôle, elle devenait la réalité d’une image féminine à qui toutes les femmes voulaient ressembler.
Elle a fait écho à des milliers de femmes enfermées dans leurs carcans. Le film fut projeté sur les écrans au 20e siècle.
Aujourd’hui au 21e siècle, BB revient comme argument de vente chez Lancel qui joue à fond sur le mythe de la femme libre et sensuelle…
Un passé qui fait rêver, qui a fait rêver…
Toujours le passé, l’homme s’accroche désespérément à ce qu’il connaît, nous les femmes faisons encore partie des rêves masculins anciens…
Il faudrait des nouveaux mythes, des nouveaux rêves…
Un monde nouveau qui balaie l’ancien. Un monde où l’impossible devient possible…
Les corps se souviennent de ce qu’on voudrait parfois oublier ou bien nous retransmettent avec délice des sensations amoureuses, coquines, perverses, ou bien le contact d’une brise douce ou d’un regard d’homme dont pour un instant, il est l’objet de convoitise.
Les émotions, les rougeurs, les somatisations, tout cela est orchestré par ce corps, aujourd’hui si peu respecté.
Le corps sait des choses que notre raison ignore, que la science ne peut pas découvrir.
Le mystère de la mort, de la naissante, la clef de la jouissance, de l’extase, de la transe amoureuse, notre corps sait ce que nous ignorons.
Le mystère de nous même, c’est à nous de le découvrir. Corps de femmes tant racontés, tant filmés, photographiés dans le but de le démystifier.
Les hommes écrivent sur les femmes, ils nous vivent et nous imaginent au travers de leur subjectivité et croyance. Moi, je suis une femme, donc je peux témoigner en tant que telle.
Je ne joue pas à comprendre les femmes. Je suis femme et en même temps différente de beaucoup d’entre elles. Il y a l’éducation, la religion, La couleur de peau, les origines et tant d’autres choses qui nous différencient.
Mais nous avons un point commun malgré nos différences: le même sexe.
Je pense, comme Virginia Woolf écrivaine du 19e siècle, que certaines libertés d’une écrivaine sont restreintes.
Virginia Woolf, a écrit « Dire la vérité sur mes propres expériences en tant que corps-je ne crois pas avoir abouti et je doute qu’une femme l’ait fait jusqu’à présent.
Une femme a à combattre bien des préjugés. » Comme elle a raison encore… Moi même en temps qu’écrivaine, je me heurte au passé du monde, des femmes et souvent, j’ai envie de partir très loin de tout.
La mort ou le bout du monde. Un endroit où je pourrais me ressourcer et enlever les cadenas qui m’étouffent encore et toujours.
Virginia Woolf se posait les mêmes questions : « Qu’est ce q’une femme, je vous assure que je ne le sais pas » mêmes questions que je me pose surtout dans mon troisième livre:
« Qu’est qu’une femme? »
Simone De Beauvoir écrivait « On ne naît pas femme, on le devient. »Ce sujet brûlant est toujours d’actualité. Transgresser est ma spécialité, mais que de murs s’érigent devant moi.
J’ai dit un jour à un sexologue, connu et écrivain, que les confidences que des femmes lui font sur leur vie sexuelle ne révèlent pas sans doute le plus intime d’elles mêmes.
J’écris sur le sexe mais je me garderais de dévoiler mes découvertes profondes et intimes. Je constate que dénoncer certaines choses encore taboues dans notre société a un prix à payer.
Pour le moment, il y a une libération des mœurs qui donnent un semblant d’air affranchi, mais c’est comme tout aujourd’hui où les excès règnent. Tout se dégrade, les rapports humains, le sexe.
Pour parler du corps des femmes, de leur liberté sexuelle, je pense à une rencontre foudroyante entre un metteur en scène et une actrice mythique du cinéma français: Brigitte Bardot et Roger Vadim. Vadim a eu l’instinct talentueux de faire le film « Et Dieu créa la femme » avec Brigitte Bardot.
Magnifique BB qui devenait l’image vivante d’une femme insoumise, insolente, sensuelle, mutine et tellement sexy. Brigitte Bardot incarnait ce personnage de sauvageonne qui lui collait à la peau.
C’était elle, elle était le rôle, elle devenait la réalité d’une image féminine à qui toutes les femmes voulaient ressembler.
Elle a fait écho à des milliers de femmes enfermées dans leurs carcans. Le film fut projeté sur les écrans au 20e siècle.
Aujourd’hui au 21e siècle, BB revient comme argument de vente chez Lancel qui joue à fond sur le mythe de la femme libre et sensuelle…
Un passé qui fait rêver, qui a fait rêver…
Toujours le passé, l’homme s’accroche désespérément à ce qu’il connaît, nous les femmes faisons encore partie des rêves masculins anciens…
Il faudrait des nouveaux mythes, des nouveaux rêves…
Un monde nouveau qui balaie l’ancien. Un monde où l’impossible devient possible…