La majorité sexuelle a été considérée à treize ans et maintenant à quinze ans ?
Pour les garçons, c’est une question que je connais moins, mais pour les filles, c’est donner juste de la chair fraîche à des hommes pour la plupart sans scrupules qui veulent se taper des minettes.
Est-ce que la sexualité féminine est mise en avant ?
Non ! Clairement, même le clitoris demeure un sujet peu connu au 21ème siècle.
C’est effrayant le peu d’information qui existe sur le féminin.
Donc à quinze ans, les filles seront formatées à cette bonne vieille sexualité masculine.
Entre les pornos, le viol, l’inceste et les violences en tout genre, sûr qu’en France pas de mutilations sexuelles à proprement parler mais la sexualité chez les femmes maltraitées ne risque pas de se développer positivement et de se transmettre.
L’homme occupe la rue, la sphère privée et c’est souvent la violence qui règne. L’apprentissage de la sexualité féminine est où dans cette cacophonie où le masculin domine jusque dans l’écriture ? Alors pour les filles, courage pour trouver votre point G, si vous êtes une femme fontaine, et le reste avec des hommes trop nombreux à être axés sur leurs pénis et leur jouissance.
Consentement ?
Avez-vous remarqué que le mot consentement est souvent interprété subjectivement par les hommes ? Que la justice patauge et la victime pas crue ?
La sexualité féminine est une grande absente dans ce débat pourtant d’importance capitale.
Il s’agit de la sexualité des femmes, méconnue pour de nombreux hommes et même par des femmes qui devraient être propriétaires de leurs corps et pourtant même mineures, les femmes commencent à subir des contraintes, des viols, l’inceste, elles sont niées dans leur intimité et le viol est correctionnalisé comme un délit. Bref, des lois leur tombent dessus et pourrissent leurs vies, comme si leurs corps appartenaient aux lois, aux hommes, sauf à elles.
Les violeurs, les incesteurs sortent innocentés, on est reparti des années en arrière de l’époque formidable et révolutionnaire de Gisèle Halimi et de Simone Veil.
Non à la majorité sexuelle à quinze ans, comme le droit de vote, ce sera dix-huit ans.
Même a dix-huit ans, on fait des erreurs alors quand on voit les fiascos judiciaires des viols et de l’inceste où les victimes sont laminées et détruites, les salauds impunis, donnons à ces jeunes filles un peu de chance pour décider, elles-mêmes, pour le consentement et pas donner la parole aux violeurs car aujourd’hui, la pédocriminalité explose et s’étale dangereusement dans tous les coins du globe terrestre.
La sexualité masculine étouffe la sexualité féminine et s’impose trop souvent avec force et brutalité sans parler des manipulations d’hommes pour parvenir à se taper de la chair fraîche.
Il n’existe pas de protection de l’innocence, le mal, la perversion gagnent du terrain, il est insupportable de mettre des vies de quinze ans en danger sous l’ère de la domination masculine qui règne et n’a ni foi ni loi !