Vidéo : Jouir ou ne pas jouir ?

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Cette histoire à écouter est issue d’une collaboration avec Carina Feijoeiro, artiste comédienne et metteure-en-scène qui m’a accompagnée pour l’écriture scénique.

J’ai décidé d’exorciser mon passé en essayant d’en rire. Mais, certains passages de cette oeuvre m’ont vraiment énervés. Je me serais bien servi de mes gants de boxe 🙂

Le projet – avant tous ces événements – était de monter sur scène. Les aléas actuels liés COVID, nous invitent à vous offrir le fruit de cette collaboration à l’écoute.

Mouvement des Gilets Jaunes, où sont les revendications des femmes ?

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On est dans une période révolutionnaire mais je suis dégoûtée que les violences sexuelles et autres contre les femmes et les enfants ne sont pas inclus dans ces revendications ou les mâles ont la parole et sont au premier plan.

Il n’y a jamais eu autant de femmes dans les rues en même temps que lors de la manifestation des Gilets Jaunes du 24 novembre 2018. Ce fût une immense surprise !

Seulement c’est comme d’habitude, occulté, mis en arrière plan. La révolution okay mais dans ce pays il y a des femmes et des enfants bon sang !

Sans les femmes Messieurs les Gilets Jaunes vous ne seriez pas nés !

Tant de femmes sont mortes tuées par leurs conjoints, d’enfants par leurs pères par des abrutis incapables d’assumer le divorce qui deviennent des assassins.

Notre justice libère les violeurs d’enfants, de femmes, de filles !

Les Gilets Jaunes, les ambulanciers, le masculin l’emporte partout pas parce qu’il le mérite mais il s impose égoïstement oubliant les milliers de femmes en détresse, les pro-prostitution qui considèrent que vendre du sexe c’est un boulot, mais Messieurs marre de vos exigences sexuelles et vos rêves de garder vos privilèges sur les femmes!

Ca va péter, je vous le jure et votre porno et vos fucking privilèges sauteront. C’est inéluctable. #meetoo, #balancetonporc sont nés et croyez moi les barreaux c’est bientôt pour ces hommes en vue, violeurs qui nient comme Cahuzac face à nous à la télévision. Eux c’est idem la main dans la culotte ou prête à cogner sur une femme pas obéissante !

Toujours les hommes devant la scène de vie politique et les femmes à l’arrière plan.

Stop au Parrain des films de Martin Scorsese le symbole d’un machisme puant et à dégommer.

Oui aux Gilets Jaunes mais aussi oui aux revendications des femmes, de leurs droits suspendus à un fil par des machos qui font des lois pour satisfaire leur supériorité de mâle ! A vomir cet égo masculin égoïste sans préoccupations pour leurs filles, soeurs, mères et  grands mères !

Ca doit changer, la parole est aussi aux femmes, à nous de la prendre et faire comme les hommes. Oui des femmes sont avec eux, au printemps arabe aussi et on a vue le résultat !

Les hommes ne pensent qu’à leurs gueules ça a toujours été ainsi depuis des millénaires !

Je pense qu’il est temps que ça change !

Renouvellement pour l’année 2019 !

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J’ai écrit un premier livre «La Femme Aux Miroirs» car mon reflet dans un miroir m’a été intolérable à partir de l’age de 14 ans.
L’image de la femme que je devenais ne me plaisait pas, j’avais l’impression de voir un monstre.
J’ai subi l’inceste à 5 ans et j’ai fait un rejet de mon aspect charnel.
Aller chez le coiffeur, être face à un miroir ou dans un salon d’essayage depuis l’age de 14 ans a été une torture pour moi.

Cela a étonné Sandra qui me coiffe ou me maquille si besoin pour des interviews ou des photos et quand elle me tend le miroir je détourne mon visage et je dis, non.
Quand je croise un miroir, j’hésite à me regarder, c’est dommage mais c’est ainsi, j’ai été cassée dedans quelque part en moi. Personne n’a pu m’aider à déchiffrer cela.
Je ne supportais pas qu’on me prenne en photo déjà très jeune.
Voici donc des photos que j’ai faites car l’occasion s’est présentée à moi.
Étrangement le Brésil est présent et c’est le pays qui m’a le plus marqué. «La Femme Aux Miroirs» se passe en partie là-bas.

J’ai rencontré Nathalia, une photographe Brésilienne via Sandra. J’ai vu les photos dont parle Sandra sur toutes ces femmes de pays différents. Je les ai trouvé magnifiques. Nathalia m’a parlé des Brésiliennes, de la sororité qui existe dans son pays, c’est une militante féministe.
Le destin est parfois génial. J’ai eu peur de regarder les photos bien que j’en avais fait d autres mais à chaque fois c’est pareil. Chaque fois je suis surprise du résultat car je cherche le monstre mais il n’apparaît pas. C’est moi, une femme doublée d’une petite fille, toute heureuse de s’être maquillée traumatisée par un beau père qui a brisé un miroir de coiffeuse dans la chambre en lançant un tube de rouge à lèvres contre la glace qui a fait éclater mon reflet en mille morceaux.

Il était en rage contre moi, parce que je m’étais fardée comme si j’avais commis un crime.
Je pense que cette scène a été déterminante pour mon problème de miroir et sans doute d’autres choses happées par mon amnésie qui fut très longue.
Je suis une militante féministe et je lutte aussi contre le viol, les viols d’enfants et contre l’inceste qui m’a coupée de moi même de très longues années.
Mes livres sont des romans où la fiction et la réalité se mélangent, une sorte de miroir d une âme cassée.

Je vous invite à lire deux textes rédigés par Sandra et Nathalia :

Je m’occupe personnellement de la beauté de Matti depuis des années et une relation de confiance s’est créée au fil du temps. Je connais son histoire et son vécu mais ce qui m’intéresse c’est la femme quelle est aujourd’hui et ce que son visage nous raconte…. Cette aventure a démarré lors de ma rencontre avec Nathalia, photographe, pendant une séance photo mettant à l’honneur des femmes de couleur et métissées afin de défendre le bien vivre ensemble et les origines diverses qui font la richesse de notre pays. Nathalia, d’origine brésilienne a adhéré totalement à ce projet et quand j’ai soumis l’idée à Matti de la mettre en scène lors d’un shooting photo, Nathalia est devenue une évidence par sa sensibilité sur les sujets qui touchent Matti mais aussi par sa sensibilité artistique et son ouverture d’esprit. Leur rencontre a été à la fois légère et profonde, douce et volontaire ce qui transpire d’ailleurs dans les photos réalisées d’où se dégagent force et fragilité. J’ai souhaité pour ses looks des vêtements qui lui sont propres donc familiers et dans sa mise en beauté des coiffages et des maquillages différents à l’image de Matti, une femme plurielle.Sandra PRADUROUX – Consultante en Style –
Matti a instantanément été une très belle rencontre dans ma vie. J’ai connu son histoire avant de la connaître elle-même et la douceur et la délicatesse avec lesquelles elle a partagé son chemin avec moi m’ont beaucoup touchées. Etant moi-même impliquée dans le féminisme au Brésil, mon pays d’origine et où j’ai vécu 21 ans avant de venir en France, cela m’a énormément inspiré d’avoir croisé en Europe une figure si forte et si active dans notre lutte en tant que femmes. La réflexion féministe d’aujourd’hui implique aussi un activisme du corps comme un langage de l’émancipation et comme photographe, j’essaie de participer au maximum de cette construction et déconstruction d’évidences. De plus, étant donné que le féminisme brésilien est basé surtout sur la sororité, c’était un honneur pour moi de pouvoir soutenir le combat de Matti avec cette séance photo.Nathalia – Photographe

 

 

Douze ans, quinze ans, et puis quoi encore ?

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La majorité sexuelle a été considérée à treize ans et maintenant à quinze ans ?

Pour les garçons, c’est une question que je connais moins, mais pour les filles, c’est donner juste de la chair fraîche à des hommes pour la plupart sans scrupules qui veulent se taper des minettes.

Est-ce que la sexualité féminine est mise en avant ?

Non ! Clairement, même le clitoris demeure un sujet peu connu au 21ème siècle.

C’est effrayant le peu d’information qui existe sur le féminin.

Donc à quinze ans, les filles seront formatées à cette bonne vieille sexualité masculine.

Entre les pornos, le viol, l’inceste et les violences en tout genre, sûr qu’en France pas de mutilations sexuelles à proprement parler mais la sexualité chez les femmes maltraitées ne risque pas de se développer positivement et de se transmettre.

L’homme occupe la rue, la sphère privée et c’est souvent la violence qui règne. L’apprentissage de la sexualité féminine est où dans cette cacophonie où le masculin domine jusque dans l’écriture ? Alors pour les filles, courage pour trouver votre point G, si vous êtes une femme fontaine, et le reste avec des hommes trop nombreux à être axés sur leurs pénis et leur jouissance.

Consentement ?

Avez-vous remarqué que le mot consentement est souvent interprété subjectivement par les hommes ? Que la justice patauge et la victime pas crue ?

La sexualité féminine est une grande absente dans ce débat pourtant d’importance capitale.

Il s’agit de la sexualité des femmes, méconnue pour de nombreux hommes et même par des femmes qui devraient être propriétaires de leurs corps et pourtant même mineures, les femmes commencent à subir des contraintes, des viols, l’inceste, elles sont niées dans leur intimité et le viol est correctionnalisé comme un délit. Bref, des lois leur tombent dessus et pourrissent leurs vies, comme si leurs corps appartenaient aux lois, aux hommes, sauf à elles.

Les violeurs, les incesteurs sortent innocentés, on est reparti des années en arrière de l’époque formidable et révolutionnaire de Gisèle Halimi et de Simone Veil.

Non à la majorité sexuelle à quinze ans, comme le droit de vote, ce sera dix-huit ans.

Même a dix-huit ans, on fait des erreurs alors quand on voit les fiascos judiciaires des viols et de l’inceste où les victimes sont laminées et détruites, les salauds impunis, donnons à ces jeunes filles un peu de chance pour décider, elles-mêmes, pour le consentement et pas donner la parole aux violeurs car aujourd’hui, la pédocriminalité explose et s’étale dangereusement dans tous les coins du globe terrestre.

La sexualité masculine étouffe la sexualité féminine et s’impose trop souvent avec force et brutalité sans parler des manipulations d’hommes pour parvenir à se taper de la chair fraîche.

Il n’existe pas de protection de l’innocence, le mal, la perversion gagnent du terrain, il est insupportable de mettre des vies de quinze ans en danger sous l’ère de la domination masculine qui règne et n’a ni foi ni loi !

Matti King, une des héroïnes du prochain conte de Clémence Cousteau

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Dans les coulisses du shooting photo de ce qui sera prochainement le premier conte universElles, un conte musical aux héroïnes féminines écrit par Clémence Cousteau : me voici, Matti King qui endosse le costume de Wonder Woman pour combattre les pervers sexuels qui peuplent la planète Terre et qui opressent femmes et enfants.
Crédits stylisme : Singing Birds & Laughing Bees
Crédits photo : Jean François Aloisi

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Me voici à l’œuvre ! Ce n’est que le début d’un vaste nettoyage pour débarrasser la planète Terre des violences masculines.

Article de Unwalkers au sujet du livre Innocence Coupable de Matti King

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Article paru sur le site www.unwalkers.com au sujet du livre de Matti King : Innocence Coupable.

Qu’y a-t-il de plus horrible que de se faire souiller, v(i)oler son intimité ? Et d’autant plus lorsque le coupable s’avère être une connaissance, quelqu’un que l’on côtoie fréquemment.
Carla a six ans. C’est une enfant comme les autres, avec des rêves de petite fille, des jeux, des peurs, et de l’amour à revendre. Tanine a 43 ans, et souffre d’amnésie. Son enfance est partiellement effacée, et elle mène une vie de femme recluse, s’interdisant tout contact avec l’extérieur, en particulier les hommes. Carla et Tanine sont une seule et même personne.
Violée par son beau-père dans un souterrain, Carla s’est construite une carapace au fur et à mesure qu’elle a grandi, créant un dédoublement de la personnalité nécessaire pour survivre à ce traumatisme. Un beau-père insensible et pervers, une mère fermant les yeux sur la vérité, Carla grandit en ayant des préjugés et des idées fausses sur le sexe et la vie.
« Le passé tu y fais attention comme si c’était une porcelaine et la vie, tu la laisses filer. Dommage. »
Puis vient l’élément déclencheur ; l’enterrement de son beau-père. Carla reprend le pas sur les pensées de Tanine, qui avait refoulé toute son enfance. Les souvenirs remontent, l’angoisse aussi. Plus de 30 ans après le drame, elle entreprend une thérapie pour faire remonter les souvenirs de Carla, et se libérer de Tanine, pour pouvoir revivre et se libérer du poids de son passé qui la contraint à s’enfermer.
Peu à peu, grâce à son psy, elle reprend le contrôle de sa vie. Avec Selena, sa collègue et amie, elle va refaire son éducation sexuelle et découvrir le monde du sadomasochisme, lui permettant ainsi de s’épanouir dans son nouveau travail, mais également avec les hommes, qu’elle va recommencer peu à peu à fréquenter.
L’auteur alterne des passages de l’enfance et de vie d’adulte. Carla et Tanine se renvoient la balle, se parlent, l’une essayant de repousser l’autre, et l’autre lui rappelant ses souvenirs enfouis en se faisant de plus en plus présente, afin de lui ouvrir les yeux sur la vérité. Carla évoque sa culpabilité, et sa honte d’avoir pris du plaisir malgré l’inconvenance de la situation. Ces paroles sont bouleversantes de sincérité, et vont prendre le lecteur aux tripes. Tanine s’enferme dans une paranoïa incontrôlable, refuse la réalité et rejette les voix de Carla dans sa tête avant de s’obliger à sortir de cet état de déni.
Innocence coupable, c’est l’histoire d’une incroyable métamorphose. Celle d’une jeune femme qui va laisser à la fois l’enfant qu’elle a été, et l’adulte qu’elle était au profit d’une nouvelle identité ; une femme libre et libérée de son passé, devenue maitre d’elle-même et qui désormais croque la vie à pleine dent.
« Violer c’est déraciner une fleur, et le jeter n’importe où. Cette petite pousse brisée par la main assassine, pourra-t-elle jamais grandir, ou est-elle condamnée à mourir de chagrin ? J’ai pratiqué une greffe sur moi-même, et de cette bouture inespérée est née une deuxième vie. »
Des phrases parlantes et touchantes, qui au-delà de l’aspect touchant qui envahit le lecteur, redonnent confiance en l’avenir. C’est un récit poignant s’apparentant à un témoignage, qui insuffle de l’espoir pour les victimes ayant subi un viol ou autre coup dur.
L’histoire d’une renaissance qui semblait impossible.

Cours de danse instinctive

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Exceptionnellement Matti King donne des cours en groupe à des comédiens, ayant été comédienne elle même, Matti King sait à quel point le corps est important pour être capable de s’oublier et devenir le personnage.

Le corps est l’instrument de l’acteur, il est aussi celui des personnes qui recherchent la liberté de leurs mouvements

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Les cours de Matti King sont particuliers et personnalisés, suivant la demande et le but recherché. Les cours ont lieu chez elle. Pour tout renseignement n’hésitez pas à rentrer en contact avec Matti King via la page Contact, ou directement par email en cliquant ici.

Ces cours sont exclusivement réservés aux femmes.

Pour en savoir plus découvrez la page « Cours de Danse Instinctive« .

Danse instinctive par Matti King

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10734081_10152890834824485_5538152898171164491_nMatti King donne un cours de danse instinctive chez Joël Bui qui enseigne à Paris la méthode que Lee Strasberg enseigna à Factors Studio (Visiter le site de Joël Bui).

Matti a travaillé plusieurs années au Lee Strasberg Institute à New York en tant que comédienne. La danse instinctive est un travail sur le corps avec musique pour ressentir les rythmes au travers du corps et utiliser l’imaginaire pour vivre des situations rêvées et autres au travers de musiques différentes. Le corps est l’instrument essentiel de l’acteur pour vivre réellement sans simuler, la joie, l’amour et toutes les sensations que le corps exprime dans le mouvement.
Matti travaille toujours régulièrement avec Joel Bui qui enseigne la méthode de l’Actor’s Studio à Paris.

Un danseur, un musicien, un chanteur doivent travailler sans cesse pour entretenir leur potentiel artistique. Les acteurs oublient parfois l’importance du corps pour exprimer des palettes d’émotions non feintes et jouées.
La danse instinctive permet au corps de s’exprimer. Le corps est un atout précieux pour les actrices et les acteurs.

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LA DISPARITION d’ALAIN SIRITZKY

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Enfant, il adorait l’image, le cinéma. Il était inventif, plein d’humour. Sa vie fut une bagarre perpétuelle pour imposer ses idées.

Il a été à l’origine de la mise en image du film culte « Emmanuelle.» Ce personnage féminin l’avait envouté, fasciné jusqu’à acheter les droits du livre autobiographique d’Emmanuelle ARSAN.

Personne n’était convaincu pour en faire un film, grâce à sa persévérance il verra le jour le 26 juin 1974. 50 millions de spectateurs dans le monde, dont beaucoup de femmes l’auront vu.
Sa sortie survenait après le bouleversement du soulèvement féministe des années 70. Il restera 13 ans à l’affiche sur les Champs Élysées avec un record d’entrées inimaginable et imbattable.

Alain Siritzky était méconnu du grand public. Il était mon frère. Nous avons été séparés longtemps.
Nous nous étions retrouvés avant sa mort après le décès de notre père. Nous avions en commun la passion du cinéma et le goût de l’érotisme. Je suis heureuse qu’on ait pu se retrouver un court moment qui m’a rappelé notre vie à New-York où nous avons grandi.

Je lui rends ce dernier hommage.

LIENS :
Pure people
Le Monde

L’Union Européenne – L’immense menace pour les femmes

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La régression des droits des femmes est en train de se mettre en place. C’est d’une clarté qui fait peur. Tant de combats depuis des années qui risquent d’être balayés par une poignée d’hommes dont très peu de femmes. Les femmes en position ont leurs voix mais qui ne portent pas comme celles des hommes. Surtout les conservateurs qui sont une menace en raison de leur misogynie et du peu de respect qu’ils accordent aux droits et libertés des femmes.

Quant aux religieux, tous confondus, ils n’ont rien à voir dans le combat des libertés sexuelles y compris le droit à l’avortement et de choisir d’être mère ou pas. Aujourd’hui encore au 21° siècle, des milliers de femmes sont violentées, physiquement, psychologiquement, violées, mutilées, prostituées contre leur volonté avec un sadisme digne des camps de concentration. Ces féminicides mondiaux n’émeuvent ni les médias ni les gouvernements trop occupés pour ceux qui en font partie de garder leur position et conserver leurs privilèges et quasi immunité.

Quand la masse des femmes comprendra qu’elles sont prisonnières d’un système patriarcal inébranlable, alors seulement la révolution interviendra. Cette révolution est incontournable et inéluctable. Cette révolution sera sexuelle. La sexualité, c’est l’instinct de vie, c’est thanatos, la vie. Cette sexualité, celle des femmes est niée par une masse d’hommes qui sont habitués à être les maîtres dans ce domaine. Ce sont les récoltes du passé qu’ils pensent toujours d’actualité et la pornographie les conforte dans cette idée. Lire la suite

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