La saisie de la justice internationale en met du temps pour réagir et sauver un peuple de la haine meurtrière de Kadhafi qui a proféré des mots abominables, humiliants, d’une violence haineuse contre son peuple qui échappe à son emprise.
Ce ne sont pas les seules paroles d’un dictateur qui a perdu la face et son propre contrôle devant le monde Arabe, l’Occident, l’Amérique et tous les autres pays.
Certains n’en mènent pas large pour eux-mêmes dans ce contexte à feu et à sang.
Les Libyens s’exposent à la mort tant ils n’ont plus peur de rien ni de perdre.
Cette phrase méprisante de Kadhafi leur a été jeté à la figure comme s’ils n’étaient pas des êtres humains et qu’il avait droit de vie et mort sur eux :
« Il promet de chercher maison par maison les rats et les mercenaires. »
Il a déclaré la guerre à son propre peuple, affichant sa folie sanguinaire, prêt à détruire ceux qui lui échappent et qui n’obéissent plus à la peur.
La peur qui leur a été inculquée par les violences, les sanctions arbitraires, l’impossibilité de s’enrichir, les rêves brisés par un autoritarisme inhumain, sans empathie, le Néron du 21e siècle.
Ce ne sont pas les seules paroles d’un dictateur qui a perdu la face et son propre contrôle devant le monde Arabe, l’Occident, l’Amérique et tous les autres pays.
Certains n’en mènent pas large pour eux-mêmes dans ce contexte à feu et à sang.
Les Libyens s’exposent à la mort tant ils n’ont plus peur de rien ni de perdre.
Cette phrase méprisante de Kadhafi leur a été jeté à la figure comme s’ils n’étaient pas des êtres humains et qu’il avait droit de vie et mort sur eux :
« Il promet de chercher maison par maison les rats et les mercenaires. »
Il a déclaré la guerre à son propre peuple, affichant sa folie sanguinaire, prêt à détruire ceux qui lui échappent et qui n’obéissent plus à la peur.
La peur qui leur a été inculquée par les violences, les sanctions arbitraires, l’impossibilité de s’enrichir, les rêves brisés par un autoritarisme inhumain, sans empathie, le Néron du 21e siècle.