Les nouvelles générations de femmes vont peut être réussir à court-circuiter le mutisme des générations anciennes.
La loi du silence, du plus fort, du plus riche qu’il soit blanc, noir, jaune, métissé va peut être peu à peu prendre fin. Les voix, les corps des femmes vont s’éveiller à quelque chose de nouveau. Le raz le bol, la lassitude d’entendre des sempiternelles phrases : « ne dis rien, oublies, c’est mieux.
C’est comme ça, que veux-tu ? « Ou bien les menaces dites ou voilées : « si tu parles, gare à toi ou à ta carrière implicitement suggéré. » Comme, je les hais ces menaces qui entravent la vie d’une femme et cela dès son plus jeune âge parfois. L’esclavage a été aboli pour les noirs mais l’esclavage sexuel existe bel et bien encore de nos jours. Les femmes demeurent trop souvent opprimées par les préjugés, les obligations « de femmes » et par toutes ces menaces directes ou indirectes qui pompent leur énergie vitale qui est aussi celle de leur sexualité. Le printemps Arabe a sonné l’heure d’une révolte où le retour à l’ancien n’est plus possible.
La loi du silence, du plus fort, du plus riche qu’il soit blanc, noir, jaune, métissé va peut être peu à peu prendre fin. Les voix, les corps des femmes vont s’éveiller à quelque chose de nouveau. Le raz le bol, la lassitude d’entendre des sempiternelles phrases : « ne dis rien, oublies, c’est mieux.
C’est comme ça, que veux-tu ? « Ou bien les menaces dites ou voilées : « si tu parles, gare à toi ou à ta carrière implicitement suggéré. » Comme, je les hais ces menaces qui entravent la vie d’une femme et cela dès son plus jeune âge parfois. L’esclavage a été aboli pour les noirs mais l’esclavage sexuel existe bel et bien encore de nos jours. Les femmes demeurent trop souvent opprimées par les préjugés, les obligations « de femmes » et par toutes ces menaces directes ou indirectes qui pompent leur énergie vitale qui est aussi celle de leur sexualité. Le printemps Arabe a sonné l’heure d’une révolte où le retour à l’ancien n’est plus possible.