C’est un fait que les gouvernants ne font rien pour protéger le féminin, l’image de la femme, la femme tout court.
On parle, on constate et le phénomène des violences psychologique et physiques atteignent un pic avec peu de réaction des politiques.
J’ai trouvé ça pas mal. J’ai été surprise.
Nul ne connaît la part d’ombre des autres, nul ne connaît la souffrance qui a pu lui être infligée. La douleur psychique requiert une grande technique pour la dissimuler et faire comme si tout allait bien.
Je commence à savoir que le passé nous rattrape toujours. J’ai tenté maintes fois de lui échapper, peine perdue, il me débusque toujours. J’essaye de le contourner, de trouver une sortie de secours, inutile, il est toujours là. Régler le passé semble incontournable. Je ne sais pas encore comment l’affrontement entre celle du passé et celle d’aujourd’hui va se dérouler, je veux dire la partie de moi qui a vécu l’horreur, la petite fille terrorisée que j’ai été est devenue une femme empreinte de ce passé qui a longtemps été relégué dans un coin de mon cerveau.